SN
Dans cette perspective, un atelier de validation des outils de la cartographie, du recrutement et de l’inventaire du matériel s’est clôturé ce jeudi 17 février au siège de l’institution à Kinshasa.
Débutés le lundi dernier, ces travaux ont été organisés par secrétariat exécutif national.
Au total, 7 500 préposés à la collecte des données seront déployés dans les 5909 groupements et 385 communes pour la révision du fichier électoral de plus de 24 000 centres d’inscription.
Dans son mot de clôture de cet atelier, le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Denis Kadima Kazadi, a indiqué que la mise à jour de la cartographie va améliorer les conditions d’organisation des prochains scrutins “voulus par tous, crédibles et transparents”.
La dernière cartographie électorale a été organisée en 2018. Depuis, beaucoup de données ont changé notamment la création de nouvelles entités, indique le numéro un de la CENI.
Avant la descente sur le terrain pour la révolte des données, la CENI va organiser un certain nombre d’activités dont formation en cascade du personnel opérationnel annoncée dans les tout prochains jours dans les différentes antennes de la Ceni ou encore la validation de différents documents et des outils à utiliser.
Parmi les innovations de ce travail de cartographie, il y aura l’utilisation des smartphones pour la récolte de données.
Le secrétaire exécutif national, Thotho Mabiku Totokani, s’est réjoui “du travail de qualité abattu concernant notamment la validation du guide de procédure sur la cartographie, les éléments de recrutement et de formation, les termes de référence et le chronogramme ainsi que les estimations de la direction des opérations”.
SN
