Le candidat président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) vient de réagir aux récentes allégations du secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), abbé Donatien Nshole. Celui-ci a indiqué que des chefs des confessions religieuses avaient subi corruption, menaces et intimidations pour qu’ils désignent le “candidat du chef”, Denis Kadima.
A travers son service de communication, Denis Kadima dément totalement ces allégations.
” Denis Kadima reste persuadé que la CENCO (et l’ECC) ont été induites en erreur dans les faits qui leur auraient été rapportés. En tant que citoyen congolais, il garde toute sa confiance dans les institutions républicaines et religieuses de son pays”, peut-on lire dans la mise au point signée par Elisabeth Mpoyo.
Dans un communiqué signé le 23 juillet 2021, les huit confessions religieuses avait évidemment dénoncé des menaces et intimidations contre leurs délégués. Mais, “nulle part le nom du candidat Kadima comme acteur ou bénéficiaire de menaces et intimidations” n’a été cité, souligne la mise au point.
En effet, seules les églises catholiques et protestantes contestent Denis Kadima. Les six autres ont jeté leur dévolu sur cet expert électoral et ont transmis le PV de sa désignation à l’Assemblée nationale.
“Officiant dans le domaine de la gouvernance démocratique depuis plus de 20 ans, Denis Kadima a œuvré inlassablement pour l’intégrité électorale et pour des processus crédibles et apaisés sur le continent”, rappelle son service de communication.
SN