SN
Ils sont députés nationaux et provinciaux de la législature finissante. Ils sont ministres nationaux et provinciaux encore en fonction. Ils sont gouverneurs de province, membres des conseils d’administration des établissements publics.
Ils ont naturellement les moyens de battre campagne et de gagner à la loyale. Ils ont préféré phagocyté le processus électoral en fraudant et trichant. Leur forfaiture abondamment relayée dans les réseaux sociaux est mise à nu. Et la CENI a frappé. Il ne pouvait en être autrement face à une engeance de vipères incapables de se battre à armes égales avec leurs concurrents.
Comme le vol n’est pas bon. Ils ne jouiront pas du fruit de leurs mauvais actes. Ils ne seront pas députés durant la prochaine législature. Ces ” fraudeurs “, ” corrupteurs “, ” vandales ” ainsi qualifiés par la CENI ne devront naturellement pas être nommés à des postes de responsabilité au haut niveau durant la prochaine mandature.
Fini l’impunité pour une race de politiciens qui se croyaient tout permis. Ils auront amplement le temps de méditer sur leurs mauvais actes. Ils devront néanmoins dire à l’opinion comment ils ont pu entrer en possession des dispositifs électroniques de vote (dev). Qui au sein de la CENI leur ont ” vendu “, ” cédé ” ou ” loué ” ces machines à voter ? Ces agents véreux, corrompus de la CENI devront subir la rigueur de la loi afin que cela serve d’exemple.
Ces 82 mauvais papas et mauvaises mamans devront expliquer à leurs enfants pourquoi leurs voix sont totalement annulées. Ça ne va pas être facile dans certains foyers.
N’tombo Lukuti.
