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La journée internationale de revendication de droits de la femme a été célébrée vendredi 8 mars dernier au territoire de Miabi, dans la province du Kasaï Oriental, par la gouverneure intérimaire, Julie Kalenga Kabongo et les mamans et jeunes filles du coin.
L’activité a été placée sous le thème : ” l’épanouissement et l’autorisation de la femme et de la jeune fille Kasaïenne en vue du renforcement de sa participation à la prise de décisions à l’ère du numérique au Kasaï Oriental.
Dans son intervention pour la circonstance, la gouverneure intérimaire Julie Kalenga, a convié les femmes présentes à la cérémonie, de se plonger dans une profonde méditation et une prise de conscience totale, pour changer leur statut social.
” Chères mamans, célébrer le 8 mars, ce n’est pas un simple slogan, mais évaluer les efforts conjugués par les autres femmes du monde. C’est aussi identifier les problèmes et nouveaux besoins des femmes pour nous permettre d’élaborer de bonnes politiques et le programme du développement. Le développement n’est possible que si tous les acteurs sont impliqués dans les actions de changement communautaire. Rien n’est impossible que si toutes les femmes pouvaient s’engager au changement de leur statut social, afin que la lutte que prône le Président de la République du Congo, Félix Tshisekedi devienne une réalité dans la famille, la communauté et dans tout le pays ”, a a-t-elle dit.
Plusieurs mouvements de femmes qui sont intervenus pour la circonstance, ont condamné l’agression rwandaise dont la République démocratique du Congo est victime dans sa partie Est et la maltraitance des femmes par les rebelles.
Elles ont enfin tracé une piste de solution à suivre par les autorités, pour annihiler ce traitement dégradant et inhumain dont sont victimes les femmes de cette contrée de la nation congolaise.
Elie Ngandu
