Le collectif des enfants des travailleurs de la Société Minière de Bakwanga (MIBA SA) continue de dénoncer les injustices subies par leur leader, Jean Mayamba Kalombo. Dans une énième requête adressée au ministre d’État, ministre de la Justice et garde des Sceaux, Constant Mutamba, ils réclament la paix et la liberté pour leur président, suggérant qu’il serait victime de représailles personnelles orchestrées par des figures influentes au sein de la MIBA.
Sous la direction de Jean Tshumbe Ohindo, le collectif met en lumière les nombreuses réalisations de Jean Mayamba en faveur de la MIBA. Cependant, son engagement contre les pratiques douteuses au sein de l’entreprise lui aurait valu des inimitiés puissantes, notamment de la part du président du conseil d’administration (PCA), Jean-Charles Okoto, et de son alliée, Cécile Edungu Mbotshu.
Depuis plusieurs mois, Jean Mayamba vit sous une pression constante, en raison de ses dénonciations répétées des plans nuisibles à la relance de la société minière. Jean Tshumbe déplore que cette situation d’insécurité soit le résultat direct des efforts de Mayamba pour défendre les intérêts de la MIBA contre ceux qu’il qualifie de “fossoyeurs”.
La situation a pris une tournure plus grave après une mission de due diligence en Afrique du Sud, qui a révélé l’inexistence de ASA Resources Group, supposé actionnaire minoritaire de la MIBA. Cette découverte a exacerbé les tensions internes, conduisant à une confusion majeure entre le PCA et Cécile Edungu, et renforçant les accusations du collectif contre les manœuvres malveillantes visant Jean Mayamba.
“Cet acharnement contre Jean Mayamba est le fruit de l’échec constaté par les ennemis de la MIBA dans leurs plans machiavéliques,” affirme Jean Tshumbe. Il appelle le ministre Constant Mutamba à intervenir rapidement pour que Jean Mayamba Kalombo ne soit pas poursuivi en justice et réintégré au sein de la MIBA, malgré les tentatives persistantes de ses adversaires pour le déstabiliser.
Le collectif des enfants des travailleurs de la MIBA souligne que cette situation de vengeance personnelle et de confusion administrative pose de sérieuses inquiétudes quant à l’avenir de la société minière. Ils insistent sur le besoin urgent de rétablir la justice et de garantir un environnement sûr et équitable pour tous les employés, afin de permettre à la MIBA de retrouver sa stabilité et de prospérer.
Alors que la tension monte entre les différentes factions au sein de la MIBA, l’appel à l’intervention du ministre de la Justice devient de plus en plus pressant. La communauté attend avec impatience une résolution qui mettra fin à cette vendetta personnelle et rétablira la paix au sein de l’entreprise.